Accueil / reportages / Alexis Fortier Gauthier

Ceci n'est pas un artiste.

Par : Alexis Fortier Gauthier

Le vidéo sera disponible dans un moment. Merci de patienter.
Assurez-vous d'avoir au moins la version 9 de flash installée sur votre ordinateur.

Maks Velo est un artiste d'exception. Ses convictions profondes l'ont conduit en prison, durant 8 ans, au plus fort du règne du tyran albanais Envers Hoxha. Il est resté intègre et sa peinture témoigne de son passé et de la richesse de la culture albanaise.

Film bonus 1

Film bonus 1

Film bonus 1

Film bonus 1

Film bonus 1

Film bonus 1

Film bonus 1

Film bonus 2

Film bonus 2

Film bonus 2

Film bonus 2

Film bonus 2

Film bonus 2

Film bonus 2

Film bonus 3

Film bonus 3

Film bonus 3

Film bonus 3

Film bonus 3

Film bonus 3

Film bonus 3

Pour poster un commentaire, connectez-vous.

Commentaires

image article
ofa 25 Nov 2008

Quand j'ai vu le titre, j'ai immédiatement pensé à Magritte qui écrivait dans sa peinture "Ceci n'est pas une pomme" au dessus d'une pomme peinte très réaliste ou "Ceci n'est pas une pipe au dessous d'une pipe très réaliste.  Le film réponds parfaitement au thème documenteur.  Bravo Alexis, tu te surpasses en subtilité.

 

image article
jeanbaptisteherve 14 Nov 2008

Comment continuer à vivre avec ceux qui vous ont dénoncé.  Je trouve très brillant de ta part d'avoir inséré ce commentaire à la toute fin de ton reportage.

Par ailleurs j'aimerais saluer Vince pour ses commentaires qui t'aident à grandir et qui sont surtout très tempérés.

Voilà, continue (en fait c'est presque fini.)

À bientôt

image article
Vince 12 Nov 2008

Le film est horriblement ennuyeux et manque de fraîcheur. On ne croît pas du tout à ce récit présenté de manière futile. Les images sont fades et la majeure partie des plans inintéressants. L'orientation du thème a certainement été trop difficile ce qui ne me pose aucun problème. ---> ComMenteur ;)

image article
Maxime Bélisle 12 Nov 2008

Aussi, sans vouloir prendre toute la place sur le blogue... j'aimerais informer les gens que les muvmediens n'ont qu'une camera et un trepied... Pas de rails ou de steadicam, la seule facon de suivre un sujet est avec une camera tremblante... Dans le cas de ce film, la volonte de sacrifier une technique parfaite signifie une volonte de rester pres du sujet. Admirable.

image article
Maxime Bélisle 12 Nov 2008

Manifestement, le tour de force au niveau de la confusion du sens est reussi. Mais au-dela du theme, le film respire une liberte et un interet authentique pour l'histoire de cet homme. Tres joli. La lumiere en particulier.

image article
Brigitte Membrive 11 Nov 2008

J'ai toujours du mal avec la technique de la caméra à l'épaule! Le sujet laisse perplexe, le personnage ne semble pas être peintre!

image article
sirenecanari 10 Nov 2008

merci d'apporter ta petite pierre, ton reportage, à la vérité du monde dans lequel on vit; il y a une belle lumière et la simplicité apparente du film renforce la pudeur de l'artiste, beau travail .

image article
jean denys tytgat 10 Nov 2008

c est vrais ou faux ? bon scenario en tous cas mais technique ment un peu leger

image article
cintyio 10 Nov 2008

j'apprecie beaucoup ton approche au theme (que je trouve nul - le theme!)

l'histoire de l'artiste est tres powerful, de plus il est l'exposant de la souffrance est europeenne face au regimes totalitaristes.

j'ai beaucoup de respect face a ta comprehension du probleme: il est important qu'on continue communiquer une realite douleuruese qui a dure meme 50 ans pour quelques uns de pais... de plus maintenant les tortionnaires sont toujours libres de partout, comme dans le cas de l'artiste qui le voit dans la rue.

merci d'avoir apporte ta contribution a l'exposition d'un cas representatif pour ce coin d'europe. chapeau!

image article
Félix Faucher 10 Nov 2008

Je crois que ceci n'est pas un artiste au même titre qu'une représentation d'une pipe n'était pas une pipe pour Magritte. Puisque ceci n'est pas un artiste, ceci est une vidéo nous présentant un artiste. L'homme me rapelle Godard, ses oeuvres me rapellent Miro. La lumière qu'il y a tout au long du film est magnifique. Le piqué sur les cheveux et la barbe blanche, le contraste des sourcis foncés qui lui donnent plus d'expressivité, comme les traits foncés de ses dessins. La fin m'a un peu déçue lors du premier visionnement. Je trouvais que ça manquait un peu de poésie, l'identification d'un délateur. Maintenant ça me paraît bouleversant. Dans cette petite scène, c'est tout l'après qui est montré. La cohabitation des bourreaux et des victimes. Un nouvel ordre des choses dans lequel une structure dans laquelle ces gens ont vécu toute leur vie ne veut plus rien dire. Et pourtant, comment effacer l'amertume que cela a laissé?


Évaluer ce reportage

  • 122 votes
  • Vu 2504 fois

Veuillez vous connecter pour voter